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Le kamishibaï ? Dans la tradition japonaise, c’est ce qui conte ! Il s’agit d’un petit théâtre de papier, façon castelet, où s’insèrent des planches illustrées au recto et légendées, pour le narrateur, au verso.
Le kamishibaï « L’enfant joli » créé par la conteuse Clémentine Magiera, assistée de Muriel Flouriot, se compose de quinze planches empreintes de féérie, avec le Causse Noir pour décor.
80 exemplaires sont en cours de distribution auprès des bibliothèques et médiathèques du territoire, ainsi que dans les écoles du Millavois, de la vallée du Tarn et du Causse Noir. Les équipes pédagogiques qui le souhaitent peuvent emprunter un castelet en bois - un butaï - au siège du Parc.
Amélie Agut, artiste chercheuse de sonorités et bruit-colleuse, a sillonné les chemins des Rougiers à la collecte de sons, de témoignages d’habitants, de fragments de voix, de bruitages pour composer un documentaire sonore de 45 minutes qui vient évoquer les paysages physiques par l’oreille. Ce documentaire est une sorte de road-movie poétique, un audio-guide atypique, une expérience sensorielle.
Stéphanie Laffite et Sophie Bataille nous proposent de les suivre sur ce camin étroit entre pierres et plantes, brebis et hommes, entre quotidien et imaginaire du dessus au dessous de ce pays rugueux. Le camin passe par des étapes, lieux emblématiques ou plus secrets, par des
rencontres, et par les rêves qu'il leur a offerts.
6.2 Mo
Après être allée à la rencontre des sites et de la population du Lévézou, l’artiste a identifié trois sous-entités paysagères : vallée du Viaur, affluents et versants ; cœur du Lévézou autour du lac de Pareloup ; plateaux intermédiaires bocagers du sud-ouest. Au cours de ses pérégrinations, elle a collecté des matériaux de toutes sortes (minéraux, végétaux, objets…) qu’elle a utilisés pour créer des totems. Trois personnages aux motifs et à la conception pleins d’originalité, étonnants ambassadeurs des paysages du Lévézou.
L’exposition conjugue ces totems avec de très belles photos et un recueil de paroles, le tout intégré dans une installation en forme de paravent : « souvenir », explique l’artiste, « des nombreuses haies rencontrées ».